Songez à passer en revue les étapes ou les conseils à suivre si vous vous sentez dépassé par les événements, en détresse ou anxieux.
Remarque : La liste ci-dessous est fournie à titre indicatif. Si vous ou une personne que vous connaissez avez besoin de soutien immédiat en matière de santé mentale ou en cas de crise, veuillez consulter la liste des services d’aide ici.
Les renseignements supplémentaires pour le mieux-être
- Fiche d’astuces sur la santé mentale de la Commission
- Guide de soutien pour les parents et les gardiens qui font face à une tragédie
Renseignements relatifs à la violence fondée sur le sexe et à la violence conjugale
Obtenir des renseignements pour l’ensemble du Canada
- Hébergement femmes Canada – Si vous êtes une femme qui cherche à se protéger d’une situation de violence, vous pouvez joindre quelqu’un en tout temps, jour et nuit.
- Fondation canadienne des femmes : Obtenir du soutien – Il s’agit d’un organisme phare du mouvement pour l’égalité des genres au Canada. Visitez ce site Web pour trouver des liens vers des refuges, d’autres services et des renseignements qui peuvent vous être utiles si vous êtes une personne touchée par la violence conjugale ou la violence fondée sur le sexe.
- Répertoire des ressources du Centre canadien de ressources pour les victimes de crimes – Le répertoire recense une variété d’organismes de partout au pays, y compris des services communautaires, des bénévoles, des services offerts par des services de police, des services judiciaires ou par des organisations non gouvernementales ou des organismes de bienfaisance, qui offrent des services allant du conseil à l’indemnisation en passant par les services généraux aux victimes. Si vous ne trouvez pas la ressource dont vous avez besoin, ou si vous avez des questions, veuillez communiquer avec le CCRVC par courriel à l’adresse crcvc@crcvc.ca ou par téléphone au 1-877-232-2610.
- YWCA Canada – Il s’agit d’un organisme de bienfaisance bénévole qui défend les droits des femmes, des filles, des personnes bispirituelles et des personnes de genres divers au Canada et à l’étranger.
Fiches de renseignements et de conseils
- Violence à l’encontre des femmes – Organisation mondiale de la Santé
- Comprendre et lutter contre la violence à l’égard des femmes – La violence exercée par un partenaire intime – Organisation mondiale de la Santé
- Comment aider une personne aux prises avec la violence – Fondation canadienne des femmes
- Services d’aide aux femmes victimes de violence – Fondation canadienne des femmes
- Intimate Partner Violence (document en anglais seulement) – Conseil consultatif sur la condition féminine de la Nouvelle-Écosse
- Domestic Violence in Nova Scotia 2021 (document en anglais seulement) – Conseil consultatif sur la condition féminine de la Nouvelle-Écosse
- Victim Blaming (document en anglais seulement) – Centre canadien de ressources pour les victimes de crimes
Autre renseignements supplémentaire
- IWK: Pour les enfants dâge scolaire - faire face à une tragédie
- IWK: Pour les adolescents - faire face à une tragédie
- IWK: 8 conseils pour parler aux enfants et aux jeunes - faire face à une tragédie - pour les parents et les parents substituts
- IWK: Pour les parents et les parents substituts - faire face à une tragédie
- IWK: Pour les enfants de tous les âges - faire face à une tragédie
Conseils pour le mieux-être
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Voici quelques conseils à garder à l’esprit lorsqu’il est question de sujets difficiles dans les nouvelles, les médias sociaux, les diffusions en direct ou les enregistrements archivés
- Demandez-vous si vous souhaitez être seul, entouré de gens ou accompagné par une personne de soutien lorsque vous écoutez ce genre de contenu.
- Préparez un plan au cas où vous vous sentez dépassé par ce que vous entendez ou ce que vous voyez. Sachez que vous pouvez toujours écouter ce genre de contenu en plusieurs parties. Si vous devez prendre une pause, vous pouvez également éteindre les nouvelles ou la diffusion sur le Web. Les procédures sont enregistrées et chargées sur le site Web de la Commission pour vous permettre de les écouter à votre rythme au moment qui vous convient.
- Lorsque vous êtes dans la voiture, pensez à écouter une station de radio qui joue de la musique en continu, de la musique téléchargée ou un CD pour éviter de tomber sur des nouvelles que vous ne souhaitez pas entendre.
- Communiquez avec les membres, formels et informels, de votre réseau de soutien, et sachez vers qui vous aurez envie de vous tourner selon les besoins que vous pourriez avoir.
- Joignez-vous à des groupes de soutien ou des groupes sociaux dans la mesure où les restrictions de rassemblement de la COVID-19 le permettent. Entrez les dates prévues de rencontres dans votre calendrier afin de recevoir un rappel lorsque vient le temps d’y participer. Il est important de rester en contact avec les autres.
- Organisez une activité que vous savez que vous aimerez après avoir écouté les procédures ou après avoir écouté ou consulté les nouvelles. Pensez à prévoir des jours où vous prenez une pause des nouvelles et des médias.
- Préparez des activités qui vous offrent du réconfort et qui sollicitent vos sens. Entrez-les dans votre calendrier à titre de rappel que quelque chose de bon vous attend.
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Veuillez penser à ce qui suit lorsque vous vous sentez triste, en détresse ou dépassé par diverses émotions
- Faites preuve de gentillesse envers vous-mêmes. Sachez qu’il est tout à fait normal de ressentir de la tristesse, de la colère, de l’impatience et de la frustration lorsque l’on vit un deuil.
- Parlez de ce que vous ressentez avec quelqu’un de confiance qui pourra vous écouter et vous appuyer lorsque vous lui ferez part de ce que vous vivez. Il y a des jours où cela pourrait être un service d’écoute téléphonique.
- Notre consommation de boissons alcoolisées ou de drogues peut parfois augmenter lorsque l’on vit une situation difficile. Cela peut être utile de garder un œil sur sa consommation et de faire l’effort de remarquer toute augmentation de la consommation. On peut également consommer de plus grandes quantités de nourritures, magasiner davantage ou dépenser plus d’argent que d’habitude lorsqu’on vit ce genre de choses. Si vous remarquez que ce genre de comportement devient plus fréquent que d’habitude et que ça vous rend mal à l’aise, n’hésitez pas à en parler à quelqu’un.
- Il arrive parfois que l’on n’ait pas faim, que l’on saute des repas et que l’on n’ait pas une alimentaire régulière. Le fait de manger de petites quantités et de boire de l’eau peut suffire pour que le corps soit en mesure de fonctionner.
- Remarquez si votre tolérance aux comportements et aux situations à risque augmente. Il arrive que des gens se sentent comme cela lorsqu’ils sont très tristes et qu’ils se sentent dépassés.
- Adoptez une routine simple et sommaire (évitez d’avoir un horaire chargé) et tentez de vous y tenir. Cela peut être réconfortant.
- Lorsqu’on vit un deuil collectif, il se peut que d’autres se sentent comme nous à des degrés variés selon le moment. Rappelez-vous qu’il vaut mieux ne pas se comparer, car l’intensité va et vient pour tout le monde à un rythme différent.
- Il peut être utile de demander à quelqu’un de vous aider ou de vous écouter même à court terme.
- Communiquez avec les membres, formels et informels, de votre réseau de soutien, lorsque vous vous sentez dépassé ou lorsque vous avez de la difficulté à réaliser vos activités quotidiennes. Cela peut être tout à fait normal dans des circonstances comme celles-ci. Demander de l’aide peut atténuer le sentiment de solitude et d’isolement.
- Sachez que vous avez le droit de ne pas vous sentir bien en cette période difficile.