Calendrier

Inscrivez-vous pour participer aux procédures en personne. 

Pour écouter la transmission audio en direct des procédures, composez le 1-877-385-4099 (sans frais) et entrez le code 1742076 suivi du symbole #.

Webdiffusion

Vous pourrez voir la webdiffusion en direct à partir d’ici.

Ordre de Jour

Table ronde 1 : Prise de décisions et gestion du stress lors d’incidents critiques

Les thèmes centraux suivants sont abordés :

• Facteurs psychologiques communs à la prise de décision lors d’incidents critiques.
• Formation des personnes qui prennent les décisions lors d’incidents critiques.
• Conséquences psychologiques et physiologiques du stress sur les premiers intervenants et les personnes qui prennent les décisions lors d’incidents critiques.

Parmi les participants :

• Facilitatrice : Krista Smith, agente des politiques juridiques, équipe de la recherche et des politiques
• Laurence Alison, Ph. D. : Il est professeur de psychologie d’enquête et judiciaire à l’Université de Liverpool, au Royaume-Uni, où il a également obtenu son doctorat. Il est membre de l’Institut pour la gestion des risques et de l’incertitude, directeur du Centre for Critical and Major Incident Psychology, à l’Université de Liverpool, et titulaire de la chaire de psychologie d’enquête et judiciaire. Il a également été la personne responsable du débreffage dans le cadre de plus de 460 incidents critiques et a été conseiller principal dans plus de 200 cas d’incident majeurs et dans de nombreux exercices de grande échelle en milieu réel destinés aux répondants multiorganisationnels.
• Judith Andersen, Ph. D. : Elle est professeure adjointe de psychologie, à la faculté de médecine affiliée à l’Université de Toronto, et directrice du laboratoire Health, Adaptation, Research on Trauma (HART) de l’Université de Toronto, à Mississauga. La professeure Andersen est une chercheuse de haut niveau dans le domaine de la science du recours à la force par la police et de la formation sur le désamorçage. Son travail, reconnu par le gouvernement fédéral et les administrations provinciales, contribue à façonner les pratiques de formation policière en Amérique du Nord et en Europe.
• Le surintendant Wallace Gossen : Il travaille au Service de police régional de York depuis 32 ans. En ce moment, il est responsable du commandement opérationnel. Il a fait partie de l’Unité d’intervention en cas d’urgence pendant 24 ans. Au fil des ans, il a été instructeur, sergent, commandant tactique et commandant des interventions critiques. Il est le président du Comité de préparation aux situations d’urgence de l’Association des chefs de police de l’Ontario et vice-président de l’Association canadienne des commandants des interventions critiques.
• Matthew McAllister, Ph. D. : Il est professeur adjoint des sciences de l’exercice et directeur de la physiologie métabolique et appliquée à l’Université d’État du Texas. Il est spécialiste de l’impact des facteurs de stress professionnel dans les professions tactiques où le stress est élevé, notamment celles d’agents d’applications de la loi et de pompiers. Il a publié plus de 40 études évaluées par des pairs, dont la plupart portent sur des interventions visant à améliorer la santé cardiométabolique et les marqueurs de rendement.
• Neil Shortland, Ph. D. : Il est directeur du Center for Terrorism and Security Studies (CTSS) à l’Université Massachusetts-Lowell et professeur adjoint au département de criminologie et de justice pénale. Il est titulaire d’un doctorat de l’Université de Liverpool dans le cadre duquel il a étudié le processus de prise de décisions dans des circonstances d’incertitude élevée. Ses travaux de recherches portent principalement sur le rôle des différences individuelles et des facteurs sociétaux et culturels dans le processus de prise de décisions lourdes de conséquences.

Table ronde 2 : Contextualisation des interventions lors d’incidents critiques : risques et compromis

Les thèmes centraux suivants sont abordés :

• Est-ce possible que mettre l’accent sur la formation et la préparation en cas d’incident critique ait des conséquences inattendues sur les autres volets de la fonction policière? Si oui, le risque peut-il être géré ou atténué de façon adéquate?
• Comment faut-il gérer les priorités difficilement conciliables en matière de formation et de ressources pour les services d’urgence?
• Quel est le rôle de la société civile dans les décisions en matière de formation policière et de répartition des ressources?

Parmi les participants :

• Facilitatrice : Emma Cunlife, Ph. D., directrice de la recherche et des politiques
• Judith Andersen, Ph. D. : Elle est professeure adjointe de psychologie, à la faculté de médecine affiliée à l’Université de Toronto, et directrice du laboratoire Health, Adaptation, Research on Trauma (HART) de l’Université de Toronto, à Mississauga. La professeure Andersen est une chercheuse de haut niveau dans le domaine de la science du recours à la force par la police et de la formation sur le désamorçage. Son travail, reconnu par le gouvernement fédéral et les administrations provinciales, contribue à façonner les pratiques de formation policière en Amérique du Nord et en Europe.
• Paula Di Nota, Ph. D. : Elle est titulaire d’un doctorat en psychologie de l’Université York depuis 2017. Elle a une spécialisation en sciences du cerveau, du comportement et des sciences cognitives. Elle est affiliée au Centre for Vision Research, reconnu mondialement. À titre de boursière postdoctorale au laboratoire HART de l’Université de Toronto, à Mississauga, elle met à profit ses compétences et ses connaissances de la cognition et de l’apprentissage moteur pour comprendre la façon dont les agents de police apprennent et travaillent dans des conditions stressantes. Les travaux de recherche de Paula ont été publiés dans certaines des plus grandes revues évaluées par des pairs dans les domaines de la psychologie cognitive et des neurosciences, des services de police et de la santé au travail.
• Benjamin Goold, Ph. D. : Professeur de la Faculté de droit Allard, il est titulaire d’un diplôme en droit et en économie d’Université de Tasmanie ainsi que d’un baccalauréat en droit civil et d’un doctorat de l’Université d’Oxford. Ses travaux de recherches portent principalement sur le droit à la vie privée, l’utilisation de technologies de surveillance par la police et les organismes responsables du renseignement, et les discours et le langage utilisé dans le domaine des droits de la personne. Il a été conseiller juridique dans le cadre d’une importante enquête de la Chambre des Lords sur la surveillance et la collecte de données au Royaume-Uni et il est membre du conseil consultatif externe du Commissaire à la protection de la vie privée et de l’information de la Colombie-Britannique.
• Kimmo Himberg, Ph. D. : Il a pris sa retraite du Collège universitaire policier à la fin de 2021 où il a été recteur, après avoir été membre des forces policières de la Finlande pendant plus de 30 ans. M. Himberg est d’abord un spécialiste des sciences naturelles. Toutefois, il est également titulaire d’un certificat d’études supérieures en gestion de la justice pénale de l’Université de Birmingham, au Royaume-Uni. Il a fourni des services d’expert à plusieurs grandes organisations internationales d’application de la loi, notamment Interpol, l’ONUDC, le CEPOL, et l’ENFSI.
• El Jones, Ph. D. : Elle est professeure adjointe au département des études politiques et canadiennes à l’Université Mount Saint Vincent. Elle est titulaire d’un doctorat de l’Université Queen’s. Elle est une ancienne poète officielle d’Halifax et une journaliste primée. Elle a également reçu le prix Burnley « Rocky » Jones de la Commission des droits de la personne de la Nouvelle-Écosse en 2016. Ses travaux sont axés sur la violence de l’État au Canada.
• Hunter Martaindale, Ph. D. : Il est directeur de la recherche au ALERRT Center de la Texas State Université. Dans le cadre de ses fonctions, il gère toute la recherche portant sur les interventions, les pratiques et la formation policière, le recours à la force, la prise de décision, et les conséquences du stress sur la performance dans le cadre d’attaques actives.